« Les technologies numériques sont des technologies d’écriture et, par conséquent, de lecture. En tant que telles, elles constituent, comme l’invention de l’écriture elle-même il y a 5000 ans, une extension de notre cerveau et, ainsi de nos possibilités cognitives (1). Elles impliquent des « savoir-comprendre » qui sont des « savoir-lire » et des « savoir-voir » spécifiques de la lecture du livre. »
écrit Annick Lantenois dans son introduction à « Lire à l’Ecran » (ED.ESAD Valence 2011) (un petit livre vert qui sent bon – une odeur qui renvoie aux années 40 – pourtant Brémond, non...)
Un texte très intéressant
Mais
Marchetti, Nguema...
L’e-mergence du So
Du so de "solisuel" et par ce biais ou ce coin, une extension du cerveau qui n’est pas extension à 2 dimensions mais à nn dimensions , porteuse d’inédit, de discontinuité et d’hétérogène intégrés , in progress et ouvrants - rupture de Gödel et continuité d’Escher (2) - comme déjà cet aboiement à la mort d’un puis deux puis de tous les chiens de Saint-Martin-de-Ré déclenché par l’audition radio de la lecture d’un de ses poèmes lettristes par Isidore Isou (années 1956-57 ?)
Langage/Ecriture/Numérique... trois grandes étapes de l’hominisation .
Extension/restructuration...
Apprentissage par delà l’immersion... Après la lecture tabulaire de la poésie, quelle lecture du lisuel et du solisuel ? Quel apprentissage de ces écritures (3) ?
Comment loin de Pacific 231 (4) ou de Luigi Nonno (5) des fragments de paysages sonores sont détournés en composants parmi d’autres d’une écriture solisuelle complexe (6).
1. creuser côté « médiations symboliques » de Vygotski ?
2. ou quête de continuité et négation de la discontinuité ?
3. où la question que nous nous posions en 2009 – numérisé/numérique – parait bien dépassée...
4. Arthur Honegger
5. "la fabricata illuminata"
6. Aller, retourner, passer du temps à l’exposition Marchetti...
5. "la fabricata illuminata"
6. Aller, retourner, passer du temps à l’exposition Marchetti...
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