Yue Minjun
Un travail qui lors de l'exposition passée à la Fondation Cartier était trop différent pour que son côté "mauvais goût" avec ses roses "pétards" puissent vraiment parler...
Quand même des questions posées par l'engoûement de galeries et collectionneurs...
Et puis cet article d'Art-Press...
Le mieux, aller voir !
Et là entre expressionisme et surréalisme ces interrogations d'un type de société de consommation, de mode de vie, de décalage de modes de vie entre parties différentes de la planète.
Ce rire... Rire jaune qui est rose et rose vif... De surprise, d'angoisse?
Trop stéréotypé pour être simple...
De répétitions du pop et autres séries d'Andy Wharol à la sidération des profs découvrant le clônage d'un écran à l'autre en formation IPT dans les années 80 ?
Tenues de lutteurs asiatiques et couleurs de plastique de Dysney Land...
Interrogations de la mondialisation, de l'humanité, de la culture qui fait l'humanité, de la puissance et des formes des technologies actuelles, d'un plastique tellement plus résistant que la celluloid de Miro d'il y a 60 ans, plus coloré que la porcelaine. Moins noble ?
Le numérique qui réduit les distances, court-circuite les différentes parties de la planète, et dupliquant, bestialise l'humain tout en mettant partout la dérision d'une dérisoire mais prégnante marque humaine.
Où le " réalisme socialiste" y perdrait son latin s'il l'avait encore !
Ne pas se laisser prendre en ces étranges déclinaisons arrêtées sur images...
Encore qu'on ne saurait être insensible au rythme, mouvement et couleurs, densités figées de ces étranges instantanés comme quand Delacroix fige le mouvement en haut de barricades ou en chambres où seul se donne à voir le grain des étoffes...
Temps d'arrêt pour comprendre ? Pour que bifurque le réel ? Ruptures de déterminismes où peut se glisser la liberté ?
Où le " réalisme socialiste" y perdrait son latin s'il l'avait encore !
Ne pas se laisser prendre en ces étranges déclinaisons arrêtées sur images...
Encore qu'on ne saurait être insensible au rythme, mouvement et couleurs, densités figées de ces étranges instantanés comme quand Delacroix fige le mouvement en haut de barricades ou en chambres où seul se donne à voir le grain des étoffes...
Temps d'arrêt pour comprendre ? Pour que bifurque le réel ? Ruptures de déterminismes où peut se glisser la liberté ?
Cf le communiqué de presse de la galerie
Photos personnelles mises en ligne avec l'aimable autorisation de la galerie Daniel Templon.
Asim Waquif (Inde)
Où les utilisations du numérique pour une oeuvre interactive s'articulent avec des recherches qui semblent envoyer au land'art... Un land'art injecté d'électronique et robotique discrète soulignant, détournant, questionnant sinon rongeant un patrimoine séculaire qui rappelle ces échaffaudages de bambous de Macao.
Utilisations ?
Cf le communiqué de presse de la galerie
Et la vidéo
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