dimanche 4 août 2013

Vieille lune de marécages...


La fin d'un travail de création  -  presque -  magnifique, intégrant les réponses  puis instituant  la rupture dans une création unique  artistique   qui  faille le processus  comme nappe de charriage hétérogène et parente...

Un choix et un agencement qui, a posteriori, paraissent aller de soi, et pourtant un très long  travail.... Profondément original et unique.

Un résultat  plébiscité par tous lors des nombreux et divers recueils d'avis...




 
 
 




Et maintenant l'impatience dans l'attente de 54 cartes d'art

                                                                     comme suites de récit d'Amadou Hampäté Bä




Quels panoramas choisis?
Quelle composition de chaque famille ?
Quels rapports entre les familles ?


La pièce maîtresse de la création de Didier Tallagrand, dont rien n'a filtré, hors de tous essais ou travail de médiation pour appréhender...


Quelque chose dont on sait qu'on pourra l'identifier comme du Tallagrand, mais dont on sait aussi que cela sera inédit, polysémique, lourd de ces troubles investigations comme incursions sous-marines dans la complexité de l'époque et de ces lignes de devenir où futur et origines se rejoignent...


Un lourd et moite et pétrifié clair-obscur qui court-circuite le temps, le fige et le taraude, et l'identité, un peu comme en films de Chris Marker, texte de Glissant ou jungles de Matta,  distanciés  en étranges songs....


Des cartes en archipels de sens...

                                                     Gués d'îles ou de pas...



Sont-ce là les "photos" qu'Il doit amener d'un jour à l'autre ?


D'une imprécision qui fait monter l'attente...



Ophelia Escriu








2 commentaires:

  1. Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.

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    1. Ce commentaire qui sera pris en considération - transmission sera faite, se référait à un autre article, d'un autre site, et non au travail de Didier Tallagrand.

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